8 ASTUCES POUR OPTIMISER LES GAINS MUSCULAIRES PARTIE 2

Il n’y a rien de pire pour celui ou celle qui s’entraine fort dans le gym que passer 4-5 heures par semaine à lever des poids et à se défoncer sur des entrainements difficiles sans voir les résultats escomptés. Voici 8 astuces pour s’assurer que le temps et les efforts investis seront payants.

  1. Les calories. Il faut manger légèrement plus de calories que ce dont on a besoin pour notre fonctionnement physiologique de base (respiration, digestion, etc.) pour construire du muscle. D’un point de vue évolutif, notre corps ne veut pas accumuler de nouveau muscle. Plus de muscle requiert plus de calories pour survivre et donc besoin de plus de nourriture à cueillir et à chasser au quotidien. Nous avons sensiblement le même corps que celui de nos ancêtres ayant survécu à la dernière ère glacière et notre corps ne sait pas que nous avons de la nourriture en abondance maintenant. Il possède les mêmes mécanismes de protection qu’il y a 10 000 ans et c’est pour cette raison qu’il faut un surplus de calories pour le forcer à bâtir et à maintenir du muscle. J’irai plus en détails dans les calculs de calories dans un autre article mais un bon point de départ est de manger entre 4 et 6 repas par jour avec au moins 35-40 grammes de protéine, un peu de bon gras et une quantité de glucide qui varie selon les besoins de chacun et le moment de la journée.
  2. Les glucides. La 2e plus grosse erreur que j’ai faite étant plus jeune était de limiter mes glucides à 50 grammes par jour ou moins à cause d’une peur maladive des glucides qui découlait de la mode paléo qui a fait rage au milieu des années 2000. Bien que je crois aux bienfaits d’une alimentation faible en glucides pour un adulte sédentaire présentant un surplus de poids, un adulte qui désire gagner du muscle et qui s’entraine fort et fréquemment et qui présente un taux de gras assez bas doit en consommer de grandes quantités autour de l’entrainement. Plusieurs bodybuilders des années 1990 ne coupaient leur glucides que quelques jours avant leur concours (Dorian Yates ne les coupait jamais complètement). Je conseille à mes clients au gym SST Laval comme point de départ 50 grammes avant l’entrainement (gruau par exemple), 50 grammes durant l’entrainement (maltodextrine) et 100 grammes dans le repas post-workout (riz blanc). 200 grammes est un excellent point de référence pour débuter. Vous verrez si vous accumulez du gras ou du muscle et pourrez ajuster en conséquence. Par contre, comme l’a si bien dit Paul Carter lors de son passage chez SST Laval, si vous accumulez du gras à 200 grammes de glucide par jour c’est que vos entrainements ne sont pas très intenses.
  3. Choix des exercices. Ce point n’est pas très compliqué. Les exercices qui permettent de soulever les plus grosses charges sont ceux qui permettent de recruter le plus de fibres musculaires en même temps. Ce sont les exercices qui résultent en des gains musculaires plus rapides et donc qui doivent être priorisés. En même temps, ces exercices sont des baromètres pour indiquer si l’entrainement progresse. Un débutant ou quelqu’un d’intermédiaire doit consacrer une partie importante de chaque entrainement sur les squat, deadlift, bench press et chin up. Je n’ai aucun problème à ce qu’un débutant fasse quelques séries de curls chez SST Laval, tant qu’il a fait plusieurs séries de bench press et de chin up plus tôt dans son workout.
  4. Style de vie. Le style de vie pour quelqu’un qui lève des poids de façon sérieuse englobe le sommeil, la consommation d’alcool, les choix alimentaires, la gestion du stress, etc. Une des choses que j’apprend le plus en vieillissant est que plus on s’entraine fort, plus il faut récupérer fort. Ca semble une drôle de chose à dire mais plus j’insiste pour mes clients (et pour moi-même) à ce qu’ils aient des nuits de 8-10 heures, pour qu’ils fassent des siestes, pour qu’ils limitent l’alcool et pour qu’ils mangent des fruits et des légumes, plus ceux-ci (et moi-même) semblent capables de faire plus de volume (plus de séries), moins souvent ils tombent malades et plus ils ont de facilité à garder leur taux de gras bas. C’est beaucoup plus difficile de capter l’attention dans un article en parlant de sommeil qu’en parlant de squat, mais tous ceux qui s’entrainent sérieusement durant des années savent que c’est une des clés absolument incontournable du succès.

8 ASTUCES POUR OPTIMISER LES GAINS MUSCULAIRES PARTIE 1

Il n’y a rien de pire pour celui ou celle qui s’entraine fort dans le gym que passer 4-5 heures par semaine à lever des poids et à se défoncer sur des entrainements difficiles sans voir les résultats escomptés. Voici 8 astuces pour s’assurer que le temps et les efforts investis seront payants.

  1. Les répétitions. Une grande majorité des répétitions exécutées dans un entrainement devraient être entre 6 et 12. Oui des répétitions plus basses, en force (2 à 5) et des ”finisher” de plus de 15 répétitions peuvent aider à la croissance des muscles, mais si on fait la plupart de nos séries entre 6 et 12 reps on s’assure d’un temps sous tension de 25 à 50 secondes, ce qui représente un temps sous tension idéal pour l’hypertrophie pour la plupart des muscles.
  2. Devenir plus fort. Un muscle doit être soumis à un stress mécanique important à chaque entrainement. Ce stress doit être suffisant pour forcer la croissance musculaire. Un exemple très commun est le gars qui a réussi à faire 225 lbs au bench press pour quelques répétitions et qui arrête de mettre plus de poids sur la barre. Le processus d’adaptation (nouveau muscle dans ce cas-ci) nécéssite que le corps soit soumis à un nouveau défi: 5lbs de plus sur la barre, ou une répétition de plus que la semaine précédente. Cherchez toujours à dépasser ce que vous avez fait la semaine précédente (même si cela prend quelques semaines avant de bouger). Cette manière de structurer vos entrainements vous gardera également toujours motivé pour vos entrainements car vous aurez un objectif bien précis, et réaliste, à atteindre.
  3. Le programme. Une des pires erreurs que j’ai faites quand j’étais jeune a été de changer trop souvent de programme. Dès que je voyais un nouveau programme qui avait aidé tel ou tel powerlifter ou bodybuilder à augmenter son bench press de 50 livres je changeais de programme (donc aux 2 semaines environ…). Il y a très peu de mauvais programmes, mais la plupart ne donneront pas de résultats avant plusieurs semaines. Le processus d’adaptation que j’ai mentionné au point précédent prend plusieurs entrainememts sur une longue période de temps avant de se manifester. Le corps humain ne s’adapte pas à des stress aléatoires. Par exemple, s’il faisait 0 degrés celcius un matin de juillet, pensez-vous que votre corps s’adapterait au froid pour quelques heures? Il le fait en novembre quand les températures demeurent basses sur une période de temps très longue et de manière progressive (sur plusieurs semaines). De la même manière le corps ne s’adaptera pas à un stress imposé par quelques entrainements sur 2 semaines, mais il le fera certainement sur une périodes de quelques semaines, voire de quelques mois.
  4. L’effort. Dans les 16 dernières années que j’ai passées à travailler dans les gyms, j’ai eu la chance de côtoyer plusieurs hommes et femmes qui n’avaient aucune connaissance en entrainement, aucune connaissance du corps humain et aucun support d’un entraineur qualifié mais qui arrivaient à des résultats exceptionnels. Ces personnes avaient tous et toutes en commun une éthique de travail irréprochable, ils se donnaient corps et âme à chaque entrainement comme si leur vie en dépendait. Je suis chanceux après toutes ces années au gym SST Laval de pouvoir ne travailler maintenant avec un groupe d’athlètes qui sont si motivés que chaque répétition, chaque série, chaque mouvement est fait avec le plus intense des efforts. Je suis certain que ces athlètes vont progresser parce que jamais un bon programme ou un nouveau supplément ne pourra remplacer l’effort au travail en musculation. Si vous n’êtes pas prêt à donner votre 100% à chaque répétition quand vous vous entrainez, vous n’aurez probablement jamais les résultats que vous désirez.

LES 8 FACTEURS-CLÉ POUR AMÉLIORER LA VITESSE PARTIE 2

La vitesse est la principale qualité recherchée chez un joueur par les coach des sports de puissance comme le football et le hockey. Plus un athlète est rapide et plus il a de chances de faire l’équipe, d’être repêché et de dominer la competition Voici 8 principes qui peuvent vous aider à devenir un athlète plus rapide.

  1. Gagner en flexibilité. Une des clés pour courir plus vite est d’exécuter des foulées complètes. Un manqué de flexibilité dans les muscles fléchisseur de la hanche, dans les ischio-jambiers, dans les fessiers ou même au niveau des tendons d’achille empêche d’exécuter une foulée complète. C’est un fait bien connu que l’athlète qui court un 40 verges en 36 foulées au lieu de 40 améliorera son temps. De plus, une bonne flexibilité au niveau de ces musles aide à prévenir les blessures. Il faut donc prévoir du temps pour la flexibilité dans la routine d’un athlète au même titre que la musculation et la vitesse.
  2. Entrainement spécifique. Un linebacker au football court au maximum 15 à 20 verges par jeu. Un joueur de hockey développe un maximum de force sur ses 3 ou 4 premiers coups de patin. Les systèmes d’énergie utilisés dans les sports d’explosion (hockey, football, basketball) sont du type anaérobique (en absence d’oxygène). Une majorité des entrainements doivent reproduire ces conditions et être très spécifiques aux demandes du sport. Bien que du jogging à faible intensité ne soit pas mauvais en soi, il n’aidera pas un joueur de hockey ou de football à développer une bonne capacité à performer tout au long de sa partie à l’intensité très élevée sur courte distance qui caractérise les 2 sports. Si vous êtes un joueur de ligne au football qui court des 400m, vous devriez changer votre entrainement pour quelque chose de plus spécifique à votre position (et vos genoux vous remercieront).
  3. Ne jamais s’entrainer en état de fatigue. L’entrainement de sprint ou pour la vitesse est un entrainement très demandant pour le système nerveux. S’il est fatigué par des entrainements antérieurs, l’athlète risque d’exécuter des mouvements incorrects et ainsi d’intégrer un mauvais patron moteur. Chez SST Laval, si un athlète n’est pas capable d’atteindre ses vitesses habituelles lors d’un entrainement de vitesse il est retourné chez lui pour du repos ou il fait un entrainement qui ne requiert pas une grosse implication du système nerveux.
  4. Utiliser la pliométrie. La pliométrie est un entrainement ou l’athlète exécute des sauts et des bonds multiples à partir de différentes hauteurs. Lors de l’atterissage après le saut le muscle s’étire très rapidement et doit se recourcir (et se contracter) très rapidement pour exécuter le saut suivant. Plus un muscle devient efficace à s’allonger et à se contracter rapidement et plus il transférera cette puissance sur le terrain ou sur la glace lors de sprints, de changements de directon ou d’arrêts brusques. Le seul hic est que la pliométrie doit être adaptée au sport, à la force et au niveau de développement de l’athlète. Un athlète devrait toujours faire ce type d’entrainement supervisé par un entraineur qualifié.

LES 8 FACTEURS-CLÉ POUR AMÉLIORER LA VITESSE PARTIE 1

La vitesse est la principale qualité recherchée chez un joueur par les coach des sports de puissance comme le football et le hockey. Plus un athlète est rapide et plus il a de chances de faire l’équipe, d’être repêché et de dominer la competition Voici 8 principes qui peuvent vous aider à devenir un athlète plus rapide.

  1. Améliorer la composition corporelle. Des études ont démontré que le simple fait de perdre 5 livres pouvait augmenter la vitesse d’un joueur de football de 0.05 à 0.10 secondes sur une distances de 40 verges (dépendant du niveau de l’athlète cela représente une amélioration de 2 à 5%!). J’ai même vu lors de mo pasage comme assistant coach de force dans la LNH un joueur vedette recevoir une amende de plusieurs milliers de dollars au premier jour du camp parce que son taux de gras était supérieur à 10%. Il est important de comprendre que ce point vise la perte de masse adipeuse et non musculaire. Une alimentation saine et équilibrée est donc recommandée pour arriver à cette fin, et ce, tout au long de la saison aussi bien que la saison morte. Le prochain article portera sur les saines pratiques alimentaires pour les athlètes.
  2. Apprendre la bonne mécanique de sprint. Il suffit de regarder un sprinter de haut niveau courir pour se render compte que ses mouvements sont fluides et qu’il ne gaspille pas d’énergie à faire des gestes inutiles. La mécanique de course, comme n’importe quelle autre habileté sportive doit être enseignée comme il faut. Lorsqu’un athlète déjà puissant apprend à courir ses temps peuvent s’améliorer grandement. Il n’est pas rare en effet en un été chez SST Laval de voir un athlète abaisser son 40 verges de 0,05 à 0,10 secondes. Mes joueurs de hockey bénéficient également beaucoup d’un bon programme de sprint après leur saison. La vitesse acquise ainsi aide à leur coup de patin et aide à leur mobilité au niveau des hanches et de la cheville (ce qui aide à prévenir plusieurs blessures chroniques également).
  3. Améliorer sa force. J’explique souvent aux parents de joueurs de hockey, football, soccer, basketball, etc, que la qualité physiologique ayant le plus d’impact sur la performance de leur jeune est la force relative. Dès qu’un athlète augmente sa force relative (par rapport à son propre poids), il génère plus de force à chaque coup de patin, à chaque pas. Il change de direction plus rapidement, freine plus rapidement, saute plus haut, etc. L’approche que nous prévilégions chez SST Laval est de débuter très tôt l’entrainement en force (en respectant bien sûr le stade de développement du jeune) afin qu’iI atteigne son plein potentiel lorsqu’il sera un jeune adulte.
  4. Travailler la chaine postérieure. La chaine postérieure est composée des muscles ischio-jambiers, des fessiers et du bas du dos. Ces muscles sont souvent négligés et faibles chez plusieurs athlètes (même au niveau professionnel). Pourtant ils sont d’une importance capitale pour le développement de la vitesse dans les sports de course et pour la prevention des blessures et pour la longévité des carrières au hockey. Ces muscles doivent souvent être priorisés dans l’entrainement des athlètes de puissance.

7 ASTUCES POUR AUGMENTER VOTRE TESTOSTÉRONE – PARTIE 2

Tout homme de 25 ans devrait être conscient que son niveau de testostérone commence son déclin dès cet âge. Le déclin de la testostérone est associé à des risques accrus de diabète, de maladies coronariennes, d’atteintes neurologiques telles l’alzheimer pour ne nommer que ceux-la. Il est aussi associé à une perte de la qualité de vie, entre autres au niveau sexuel et au niveau de l’humeur. Voici 7 trucs pour augmenter votre niveau de testostérone.

  1. ÉVITER LE PLASTIQUE. Les bouteilles de plastique libèrent des BPA, un produit chimique qui agit comme une molécule d’estrogène dans le corps et qui fait baisser la testostérone. Les contenants de plastique pour les lunchs sont remplis de BPA également et ceux-ci se libèrent encore plus rapidements lorsqu’ils sont chauffés. La plupart des emballages en plastique d’épicerie, les recus de caisse et même certains produits supposés être sans BPA (comme les bouteilles de plastique pour les randonnées) en contiennent. La meilleure option pour éviter ce produit très toxique est de consommer des boissons dans des verres ou contenants de vitre et de stocker ses lunchs dans le même type de contenant. Plusieurs études ont prouvé que les niveaux de testostérone chez les adultes et chez les adolescents sont plus bas qu’il y a 50 ans et identifient la prolifération des contenants de plastique comme principal responsable du phénomène.
  2. DURÉE DE L’ENTRAINEMENT. La durée de vos entrainements peut également avoir un impact sur votre niveau de testostérone. Au début d’un entrainement de musculation, le corps produit beaucoup de testostérone (la testostérone est une des hormones les plus anaboliques – qui aide à construire du tissue musculaire – qui soit, donc l’impact est positif). Par contre, après une heure dans le gym, le niveau de cortisol augmente de façon dramatique car le corps a épuisé ses substats d’énergie ATP-CP et glycogène. Bien que le cortisol soir nécéssaire à certains moments de la journée, une hausse rapide comme celle qui vient d’être décrite fait chuter le niveau de testostérone rapidement. Une grande majorité des clients et athlètes du gym SST Laval ont un programme de musculation qui s’exécute en 55 minutes ou moins pour cette raison bien précise. Pour des clients plus avancés, 2 entrainements de 45 minutes dans une même journée seront beaucoup plus profitable au niveau hormonal qu’un long entrainement de 90 minutes.
  3. TYPE DE LEVERS. Les levers impliquant de grandes masses musculaires aident à augmenter la testostérone de deux manières. Les levers comme le squat, le deadlift, les chin up et le bench press sont les levers qui recrutent les plus grandes masses musculaires à chaque série. La production de testostérone est fortement dépendante de la grosseur des masses musculaires travaillées, donc ces exercices sont les plus payants au niveau hormonal. Aussi, ces levers sont ceux qui permettent de gagner du muscle le plus rapidement possible et plus le corps d’un homme devient musculaire, plus il est susceptible de produire une quantité de testostérone importante. Une grande partie de vos entrainements, surtout pour les débutants, devrait être consacrée à ces levers (ce qui aidera également à obtenir l’entrainement le plus complet qui soit en decà d’une heure comme discuté au point précédent).

7 ASTUCES POUR AUGMENTER VOTRE TESTOSTÉRONE – PARTIE 1

Tout homme de 25 ans devrait être conscient que son niveau de testostérone commence son déclin dès cet âge. Le déclin de la testostérone est associé à des risques accrus de diabète, de maladies coronariennes, d’atteintes neurologiques telles l’alzheimer pour ne nommer que ceux-la. Il est aussi associé à une perte de la qualité de vie, entre autres au niveau sexuel et au niveau de l’humeur. Voici 7 trucs pour augmenter votre niveau de testostérone.

  1. NE PAS COUPER LES GRAS. Un minimum de bons gras dans l’alimentation est nécessaire à la production de testostérone. Les gras monoinsaturés et saturés sont particulièrement efficaces pour augmenter la testostérone. Les oeufs entiers, les avocats, l’huile d’olive, les poissons, la plupart des noix et les viandes maigres (nourries au gazon de préférence) sont toutes d’excellentes sources de gras.
  1. VITAMINE D. Plusieurs études ont démontré qu’une carence en vitamin D chez les hommes risquait d’entrainer des niveaux de testostérone bas. La plupart des études prouvent qu’une exposition quotidienne au soleil augmente drastiquement les niveaux de testostérone mais considérant que nous vivons dans un pays ou on ne voit pas le soleil de novembre à juin, une supplémentation, surtout l’hiver, peut grandement améliorer votre niveau de vitamine D. Les autres bénéfices de la supplémentation avec la vitamine D sont très nombreux: santé des os, meilleure santé cardiovasculaire, aide au bon fonctionnement du système immunitaire et aide à la prévention ou à retarder l’apparition du diabète de type 2.
  1. LIMITER L’ALCOOL. Ce sujet suscite toujours les passions chez mes clients au gym SST Laval. En fait, un de mes clients a essayé de me payer pour ne pas que j’écrive là-dessus aujourd’hui pour éviter que sa femme ne lui coupe son vin le soir! La consommation fréquente d’alcool réduit les niveaux de testostérone chez l’homme par différents mécanismes. Le principal est que l’ingestion d’alcool augmente l’acivité de l’enzyme aromatase dont la fonction est la conversion de notre précieuse testostérone en estrogène. Bien que les buveurs de vin rouge soient moins à risque, il n’en demeure pas moins que la consommation fréquente de vin (même juste un verre) affecte le niveau de testostérone. L’alcool ayant l’impact le plus négatif et le plus marqué est la bière à cause du houblon qu’elle contient. Le houblon contient des phyto-estrogènes si puissants que les femmes qui travaillaient à récolter le houblon manuellement par le passé voyaient leur menstruations déclenchées prématurément à cause du simple contact avec la plante et devaient utiliser des combinaisons pour se protéger de ce phénomène. En conclusion, l’impact de boire un ou deux verres de vin au souper le samedi soir est relativement minime sur votre profil hormonal, mais une consommation quotidienne l’affectera négativement sans aucun doute.

QUELQUES TRUCS POUR UNE SAISON MORTE PRODUCTIVE PARTIE 2

  1. Beaucoup de joueurs de football recommencent à courir dès le mois de janvier. Il est en fait sage de prendre quelques semaines de congé de course pour se concentrer sur les autres qualités physiologiques (comme la force et la composition corporelle). Cette pause de course aidera également à prévenir certaines blessures d’usure comme les périostites et tendinites au genou. Le volume de course est très élevé durant la saison, surtout pour les joueurs qui évoluent sur les unités spéciales et les joueurs plus lourds et il est bénifique de laisser le articulations se reposer.
  2. Un joueur de football ne doit pas faire de “cardio” pour se préparer pour sa saison. Par “cardio” j’entends faire des heures de jogging à une intensité modérée par semaine. Bien que cela soit bon pour la santé et pour la composition corporelle, le jogging n’aide en rien à préparer un joueur de football à sa saison. Le football est un sport ou le temps moyen d’action est sous la barre des 10 secondes. Les joueurs doivent donc s’entrainer à produire un effort maximal (un sprint de 20 verges par exemple) et à être capable de répéter cet effort plusieurs dizaines de fois sans jamais baisser l’intensité. C’est exactement sur ce principe que le programme de conditionnement d’été de SST Laval a été créé (j’utilise sensiblement le même pour les joueurs des Alouettes de Montréal que j’entraine à l’hiver, ce qui prouve qu’un athlète de 14 ans est régi par les mêmes principes physiologiques qu’un athlète professionnel). Au cours de l’hiver, un entrainement de type “homme fort” peut être utilisé pour aider au conditionnement de l’athlète pour laisser les articulations se reposer comme mentionné au point precedent.
  3. L’entrainement en musculation est un outil très efficace pour déveloper la force chez un jeune athlète. Par contre, l’entrainement peut être intense et fréquent mais ne pas donner de résultats si les besoins caloriques ne sont pas rencontrés. Un jeune athlète en croissance doit consommer en quantité adéquate de bonnes sources de glucides (pâtes de blé entier, riz bruns, patates douces et bien sûr fruits et légumes), de bonnes sources de protéine (viandes rouges, volailles, poissons, oeufs, certains produits laitiers) et de bonne sources de gras (huile d’olive, avocats, noix). Ces nutriments sont nécessaires à la réparation et à la construction de nouveaux tissus musculaires (qui est l’objectif final de l’entrainement en force). En guise d’analogie, la musculation représente le plan et les ouvriers servant à construire une maison, et la nourriture représente les matériaux. L’ensemble des éléments est nécessaire pour que la maison se construise. D’autres articles couvriront le sujet ultérieurement.

LES 7 CLÉS D’UNE PERTE DE POIDS SAINE ET DURABLE PARTIE 2

1. PRIORITÉ. Il est difficile, voire impossible de prendre de la masse musculaire et de perdre du gras en même temps. Il vaut mieux prioriser. Il m’est souvent arrivé de rencontrer des clients au gym SST Laval qui veulent perdre du gras rapidement et qui font du HIIT (intervalles à haute intensité) 3 à 4 fois par semaine tout en faisant un programme de bodybuilding avancé, tout en suivant une diète à très basses calories. Plus souvent qu’autrement ces clients n’atteindront jamais aucun de leurs objectifs et risquent d’épuiser complètement leur glandes adrénales et leur corps en général. Choisissez un objectif, adaptez votre entrainement et votre alimentation en conséquence, et consacrez-y quelques mois avant de passer au suivant.

2. S’ENTOURER ADÉQUATEMENT. Lorsque j’ai commencé à m’entrainer, j’étais encore au cégep et vivais en appartement avec des colocs pour qui chaque jour était un samedi soir. Il y avait toujours de l’alcool et de la malbouffe à portée de main, donc toujours une tentation présente. L’année suivante, je désirais devenir très sérieux dans mon entrainement et j’ai eu la chance de déménager avec de nouveaux colocs qui s’entrainaient aussi sérieusement que moi et qui avaient un style de vie sain. Leur présence m’a beaucoup aidé à l’époque à progresser rapidement car on se surveillait et on s’encourageait les uns les autres constamment. Je vois ce phénomène souvent quand un de mes clients chez SST Laval décide de perdre du poids et que son conjoint (e) ou sa famille ne veut pas l’aider. Le chemin et la progression seront plus difficiles pour cette personne. Il est donc important avant d’entreprendre une démarche de perte de poids d’en avertir ses proches et d’obtenir leur collaboration.

3. NE PAS CROIRE AUX MIRACLES. Des chercheurs ont réussi à isoler une molécule d’un fruit qui pousse sur une ile du Pacifique ou tout le monde a un ”6 pack”!! Ca peut être réconfortant de croire que tel acteur ou telle actrice a perdu 30 livres en 8 semaines pour un film en consommant un extrait de ce fruit miracle, mais ce n’est pas vrai. Il ou elle s’est entrainé fort et mangé sainement. Si un raccourci existait, on le saurait. Il n’y en a pas, désolé.

4. BIEN S’ALIMENTER. J’aurais très bien pu commencer avec ce point, parce que c’est le plus important. Mais je le garde pour la fin parce que tous les autres ne valent rien sans ce dernier. Il est impossible de réparer les dégâts d’une mauvaise alimentation par l’entrainement. Vous pouvez passer 2-3 heures par jour dans le gym à tous les jours, ca ne vaudra jamais une alimentation saine. Des principes de base simples peuvent vous aider à dramatiquement transformer votre physique. Consommez une source de protéine complète à tous les repas, consommez la majorité de vos glucides près de l’entrainement et pas le reste de la journée, éliminez les gras trans, les aliments hydrogénés et le sucre (surtout celui qui est étiquetté comme ”santé” (le sucre des jus de fruits par exemple, peut ralentir grandement la prte de poids)), manger plusieurs petits repas au lieu de gros repas espacés, etc. Il est malheureux de constater qu’il y a maintenant beaucoup trop d’information, souvent contradictoire, qui circule à ce sujet sur internet. C’est très compliqué de s’y retrouver. Chez SST Laval, le travail avec un client commence toujours par enlever le superflu dans l’alimentation bien avant de compter les calories, ou les grammes de protéine. Essayez pour 21 jours d’enlever le sucre, les gras trans et l’alcool de votre alimentation, vous serez très surpris des résultats.

QUELQUES TRUCS POUR UNE SAISON MORTE PRODUCTIVE PARTIE 1

  1. La saison morte est le moment idéal pour réhabiliter les blessures subies durant la saison. En effet, que celles-ci aient necéssité un arrêt de la saison ou non, elles doivent être adressées dès que possible pour ne pas s’empirer. Les physiothérapeutes, ostéopathes peuvent aider à traiter la blessure mais un kinésiologue spécialisé pour les athlètes peut aider à renforcer les muscles entourant les structures qui auraient pu être touchées. De plus, une blessure est souvent la consequence d’un déséquilibre musculaire pré-existant. Un entraineur competent saura évaluer en profondeur l’athlète, identifier le déséquilibre qui a mené à la blessure et travailler à le corriger. Les kinésiologues du gym SST Laval ont travaillé avec plus d’une centaine de joueurs de football de 12 ans jusqu’à la NFL et ont développé une expertise sans pareil au Québec.
  2. L’entrainement de force et d’explosion en saison morte aide à améliorer plusieurs paramètres physiologiques pour un joueur. Chez SST Laval, la première évaluation que nous faisons auprès des athlètes (qu’ils soient professionnels ou très jeunes) est une évaluation structurelle. Celle-ci vise à identifier des déséquilibres existants entre des muscles antagonistes. Un exemple fréquent au football est une disparité entre la force et la flexibilité des fléchisseurs de la hanche et des fessiers. Souvent les premiers sont très forts et peu flexibles alors que les fessiers sont faibles. L’athlète risque alors de ressentir des douleurs aux genoux et au dos quand il joue. Des exercices correctifs et un programme de mobilité articulaire sera alors donné au joueur pour corriger la situation.
  3. L’entrainement de force et d’explosion en saison morte aide les athlètes à devenir plus puissants, ce qui est primordial dans un sport comme le football. La capacité d’exploser pour un athlète est directement influencée par la force de ce dernier. Comme il a déjà été mentionné dans un article précédent, il est sécuritaire pour un jeune en croissance de pratiquer la musculation, mais la supervision d’un kinésiologue spécialisé pour les athlètes est recommandée. Plusieurs phases d’entrainement d’environ 6 semaines sont nécéssaires pour developer la force chez un athlète. Il est donc important de commencer l’entrainement dès la fin de la saison et de ne pas attendre quelques semaines avant la saison. La force est une qualité physiologique qui prend du temps à se déveloper, spécialement chez un adolescent en croissance. Il n’y a donc pas de tems à perdre après la saison.

LES 7 CLÉS D’UNE PERTE DE POIDS SAINE ET DURABLE – PARTIE 1


1. LA PATIENCE: Lorsque l’on décide de perdre du poids, les attentes sont souvent irréalistes. Bombardées quotidiennement de publicités du genre: Retrouvez votre silhouette de bikini en 6 semaines!!, il est normal que la plupart des clientes qui viennent me consulter finissent par y croire. Mais la vérité est que tout le poids non-désiré que vous souhaiter perdre a été accumulé sur une longue période de temps. Une des premières choses que j’explique aux nouveaux clients au gym SST Laval est que 10 ans de surpoids accumulé à cause de choix alimentaires douteux et de sédentarité ne se perdra pas en 10 semaines. En règle générale je dis à ces mêmes clientes que probablement 10 mois seront nécessaires afin de voire des résultats satisfaisants (oui! 1 mois d’entrainement pour chaque année d’accumulation).

2. LA CONSTANCE: J’accompagne des gens en perte de poids depuis 15 ans. LE SEUL FACTEUR qui a un impact majeur dans la perte de poids est la constance, soit faire les bons choix jour après jour. Nous vivons dans une société d’instantané, on veut tous obtenir des résultats incroyables sans effort et tout de suite! Mes clients au gym SST Laval qui réussissent adoptent un style de vie sain, ils ne font pas de diète. Une diète est automatiquement associée à des restrictions et demande un effort contre nature. Un changement de style de vie aide à ce que les choix alimentaires, par exemple manger une salade avec le repas, deviennent une partie intégrale de la routine quotidienne (comme se brosser les dents…on n’a pas besoin de se forcer pour y arriver. On le fait car ca fait partie de la routine quotidienne). Personne n’a besoin d’une diète compliquée et stricte de bodybuilder pour perdre du poids si on fait des bonx choix tout au long de la semaine et une grande majorité de la fin de semaine. Ce qu’il faut c’est changer ses habitudes et de se référer au point 1, la patience. Non les changements alimentaires ne transformeront pas votre corps en 5 semaines. Mais sur une période d’un an, vous serez probalement méconnaissable.

3. DÉPENSER DES CALORIES À TOUS LES JOURS: Il m’est arrivé souvent de me faire demander par des clients pourquoi ils n’arrivaient pas à maigrir. C’étaient souvent des clients qui avaient adopté une saine alimentation depuis une bonne période de temps mais qui n’arrivaient pas à perdre du gras. Dans presque tous les cas il s’agissait de clients qui venaient me voir 2 fois par semaine pour des entrainements privés. Tous les clients du gym SST Laval savent à quel point une heure avec un de nos entraineurs peut être payante en dépense calorique. Mais voilà, souvent ces clients se limitent à ces 2 heures par semaine. Comme les bons choix alimentaires doivent être faits à tous les jours, une dépense calorique doit également avoir lieu à tous les jours (ou presque) pour des résultats significatifs. En effet, si on considère qu’on est éveillé 16 heures par jour (8 heures de sommeil), la semaine compte 112 heures d’éveil. 2 heures d’entrainement par semaine représente moins de 2% de la semaine où on est actif (pour la plupart des gens qui ont un travail sédentaire). Pour de meilleurs résultats on doit faire suffisamment d’activité physique à tous les jours pour dépenser un peu de calories. J’indique souvent aux clients du gym SST Laval que 3 séances de musculation par semaine et 3 séances de travail cardiovasculaire peut produire des résultats beaucoup plus impressionants que 2 à 3 entrainements par semaine. Alors qu’on a tendance à penser qu’il faut courir 1/2 marathon à chaque fois, 20 minutes de vélo stationnaire en écoutant le hockey le soir ou une marche rapide avec le chien sont 100 fois mieux que rien du tout et que toutes ces petites séances s’accumulent au bout de la semaine et donnent des résultats!

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